L'histoire de la commune

“Wormhout”, ou “Wormhoudt” comme surnomée à l’époque, est apparue dans les écrits vers la fin du VIIe siècle dans la cartulaire de Saint-Bertin. Le nom germanique de cette ville signifie “bois vermoulu” (“worm” pour “vers” - “hout” pour “bois”).

Les frontières qui séparent Wormhout de ses dix communes voisines (Esquelbecq, Ledringhem, Quaëdypre, Wylder, Herzeele, Zermezeele, West-Cappel, Bambecque, Oudezeele et Hardifort) sont souvent constituées de chemins ruraux ou de cours d’eau comme la Peene Becque ou l’Yser.

À Wormhout, les fermes étaient nombreuses, et le sont d’ailleurs toujours, témoignant d’une activité agricole importante, principale richesse de la région.